Depuis 2002, Paris organise la Nuit Blanche, sorte de Porlwi by Light à la française en version un peu moins populaire et un peu plus prise de tête. On exagère mais l'édition 2016 qui s'est déroulée le 1er octobre dernier, était assez spéciale. Si comme chaque année Paris s'est transformé en un véritable lieu de rencontre et de culture avec quelques installations impressionnantes, le thème de cette année en a dérouté plus d'un ! 35 projets artistiques étaient centrées sur Poliphile, ce héros d’un roman publié en 1546 qui traverse de nombreuses aventures pour retrouver sa bien-aimée Polia. Une histoire romantique racontée en balade dans Paris et parfois étrangement mis en scène (pour en savoir plus, lire notre article : Une nuit blanche sous le signe de l'amour à Paris). Durant la Nuit Blanche, les musées et autres institutions culturelles restent exceptionnellement ouverts dans la capitale, et sont accessibles au public gratuitement. Les rues, les espaces publics et certains bâtiments privés se transforment le temps d'une nuit et s'animent de performances et d'installations artistiques en tout genre ! S'il a été initié à Paris, ce concept plutôt sympathique a été repris au fil des années dans de nombreuses grandes villes, comme Rome, Bruxelles ou encore Madrid... C'est Jean Loisy, directeur du célèbre Palais de Tokyo à Paris qui était en charge de cette 15e édition de Nuit Blanche (chaque année le directeur artistique change). Il avait promis une nuit remplie d'amour et un fantastique voyage dans le temps cette année. Pari réussi ! La preuve en images...
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Misitia Ravaloson - La Profileuse
Fraîchement débarquée de Madagascar son île natale et passionnée d'investigation, Misitia traque l'info comme personne. Attention rien ne lui échappe ! |
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